Samedi 10 décembre 6 10 /12 /Déc 23:00

Mon état mental avant la rencontre

Avant de vous raconter comment s'est passé mon dépucelage, ou du moins sa tentative, il faut que je vous décrive en quelques mots les acteurs à l'époque des faits : elle et moi.

Je commence par moi, la galanterie ne servant à rien quand on est trop con pour se faire une meuf. J’étais totalement désespéré, persuadé qu'aucune fille ne voudrait de moi dans ma triste vie. Je continuais tout de même à draguer, mais c'était sans y croire, c'était juste pour faire chier les nanas. Après tout, c'était de leur faute si j'étais seul, alors je n'allais pas les laisser vivre tranquille, j'avais pour idée de les harceler jusqu'à ce que l'une d'entre accepte enfin une aventure avec moi. Bien sur, chacune de mes tentatives était vouée à l’échec car j’étais trop direct et agressif. Dans une soirée, j’ai même demandé à un maximum possible de filles si elles voulaient bien coucher avec moi. Bien sur, c’était non à chaque fois.

Bref j’étais totalement désespéré. En plus, à l’époque j’avais beaucoup d’amis qui avaient pas mal de succès, et je peux vous jurer que c’est dur de voir tous les jours des personnes qui parlent de leurs relations. Aujourd’hui je n’ai quasiment plus d’amis et c’est finalement une bonne chose. Je vis comme un moine, je ne connais pas l’envie. A l’époque j’étais tellement convaincu de finir ma vie seul, que j’étais près à me sacrifier, à m’offrir à un gentil-monstre, c’est à dire une pauvre fille hideuse mais gentille, sympathique, agréable à vivre, le genre de nana au caractère charmant, mais dont la nature a affublé d’un ou plusieurs défauts qui feront d’elle une vieille fille, du genre deux yeux qui louchent, une barbe, des boutons ou encore visage défiguré suite à un assoupissement dans un barbecue…

C'est à ce moment précis de ma vie que j'ai rencontré un de ces gentils-monstres. Comment la décrire ? Elle était tellement moche que mes copains ne voulaient pas lui faire la bise. Aucun mec ne lui avait parlé dans sa vie. Je n'ai eut qu'à lui parler 5 minutes pour qu'elle tombe amoureuse. Alors je me suis dit, « pour une fois qu'une fille veut bien de moi, ce serait con de dire non, même si elle ressemble à Gérard Depardieu». Elle avait en réalité une double laideur, une laideur naturelle mais aussi un incroyable talent pour mettre sa laideur en avant, avec des vêtements de grands-mères et une coiffure immonde. Et coté mental, elle était bien brave et bien gentille. Elle voulait devenir bonne sœur à l'adolescence, mais elle y a renoncé je ne sais plus pour quelle raison. Dans sa chambre il y avait plusieurs photos de Dieu et un crucifix au dessus du lit. Il ne fallait donc pas s'attendre à ce qu'elle connaisse le kamasutra par cœur, mais quand-même, elle ne savait rien, mais alors rien du tout. De toute façon elle ne voulait rien faire. Un jour, alors que l'on parlait fellation avec des amis, elle s'est écriée d'un air outré « Quoi ???? Mettre un sexe dans la bouche, mais mon Diiiieuuuu, Quuuuellle horrrreur !!! » Bref, ce n'était pas gagné. Mais j'étais patient, j'avais suffisamment attendu pour avoir une copine, il suffisait d'attendre qu'elle veule bien coucher. Toutes les semaines, j'envoyai un doigt en éclaireur pour essayer de conquérir la grotte interdite. Mais à chaque fois, c'était « non; je suis pas encore prête ». Pourtant un jour, au bout de deux mois, elle me dit devant témoins pour me rassurer : « Tu sais, je suis très croyante, mais je ferai sûrement l'amour avant notre mariage. » Mariage ! Avec elle !! J'ai faillis gerber. Moi qui restais avec elle dans l’unique optique de commettre le péché de chair... Cependant, après seulement un peu moins de trois mois, elle accepta de coucher...

Trois longs mois ou l’on se voyait tous les soirs et où je n’avais pas le droit de toucher à son jean. Bien sur, sexy comme elle était, elle ne mettait que des jeans.

 

Mon catastrophique dépucelage.

Cela faisait trois mois que j’étais avec cette chose, appelée fille par les médecins, mais qui ressemblait plus à un animal qu'à une nana. Trois mois, ça fait tout de même plus de 40 soirées à lui lécher les nénés (on ne se voyait pas les week-ends). J’insistais pour aller plus loin, quand un midi, elle me glisse dans le creux de l’oreille « Ce soir je veux bien, si tu apportes ce qu’il faut ». Elle m’a dis ça comme s’il elle m’annonçait qu’on allait au ciné, et je ne l’ai pas senti plus enthousiaste que ça. Je lui forçais un peu la main, mais croyez-moi, si vous la connaissiez, sortir avec elle trois mois mérite largement une récompense. Et puis c'était pour son bien. Je n'allais pas la plaquer sans lui faire découvrir le plaisir de la chair, car je savais qu'elle n'était pas prête à retrouver quelqu'un.

Le soir arrivant, je me suis pointé chez elle avec une boite de préservatifs achetée depuis deux mois. Comme tous les soirs, on se déshabilla le haut, mais ce soir là on enchaîna rapidement avec le bas. On s’enlaça quelques instants avant de s’écarter pour se caresser les parties génitales. Elle se redressa et pris mon kiki à pleine main. Je savais que c’était pour elle la première fois qu’elle avait ça dans ses mains, mais je pensais qu'elle avait une idée de comment s'en servir. Pas du tout ! Je m’étendis naïvement sur le dos, prêt à faire le plein de sensations. Je n’allais pas être déçu, car pour des sensations fortes j’ai été servi. J'étais donc bien allongé quand elle pris mon sexe en pleine érection dans ses mains et à mon grand étonnement elle le serra très fort, comme pour faire du jus. Je me redressa un peu surpris quand d’un un grand geste brusque, elle appuya dessus de toutes ses forces. J’ai eut tellement mal que j’ai crié et j’ai faillit lui coller une grande claque dans la gueule. Ma bite n’était pas loin de se faire décalotter jusqu'à sa base !!! La brave fille, brutale, ignorante et bien godiche, dit d’un air surpris « Ben quoi, t’aimes pas quand je te caresse ? » Tu parles d'une caresse ! Heureusement que ma bite était neuve sinon elle l'aurait cassée ! Je lui ai expliqué que c’était fragile et qu’il fallait y aller doucement. Alors elle pris mon sexe entre deux de ses doigts et le bougea d’un centimètre vers le bas, puis d’un centimètre vers le haut. Trois fois de suite. Aucune sensation. Ensuite elle s’est allongée sur le dos et me dit dans un soupir « bon on y va ? ». Le ton de sa voix était surréaliste, c’était comme si elle voulait partir d’une soirée ou elle s’emmerdait à mourir.

Ce n’était pas le dépucelage de mes rêves, j’aurai préféré y aller doucement, découvrir le corps de l’autre petit à petit, découvrir les sensations entre deux baisers. Là non, elle était à côté de moi, les mains le long du corps à me dire, allez viens que l’on en finisse. J’ai faillit lui dire « non, on a tout le temps, commençons par les caresses, le reste viendra naturellement », mais comme je venais de me faire arracher la bite trente secondes plus tôt, j’ai préféré dire OK. Je me suis habillé de mon préservatif, je me suis placé entre les cuisses écartées qui s'offraient à moi, je pris mon sexe, l’introduit dans son fourreau et hop, raté. Hop, encore raté. Hop hop hop hop hop, raté, raté, raté, raté, raté. Impossible de la pénétrer ! On dit que les voies du seigneur sont impénétrables, hé ben les filles du seigneur le sont tout autant. Elle était apparemment vierge du moindre petit doigt, du moindre petit objet, de la moindre pensée malsaine. Je suis loin d’être bâti comme un cheval, mais peut-être que j'aurai dut élargir le terrier à la main avant d'y rentrer. Bref, j'avais beau pousser de toutes mes forces, ça ne rentrait pas. Même qu'à force de la pousser, la fille avait glissé sur le lit jusqu'à avoir sa tête contre le mur; et comme elle était toute petite et que je suis une grande perche, j'avais la gueule collée au mur contre le crucifix. J'avais l'impression d'essayer d'enculer Jésus. C'était peut-être ce qui me faisait bander, il est si sexe le petit Jésus sur la croix, dommage qu'il n'ait pas été cloué face à la croix... 

J'ai donc demandé à la fille de descendre un peu sur le lit, la marque de la croix sur ma joue lui fit comprendre pourquoi. Mais le problème restait entier, comment percer le trou ? Il me fallait plus de puissance, j'ai alors eut la bonne idée de la soirée : il me fallait de l'élan. Je me suis mis à quatre pattes au-dessus de la fille et d'un mouvement horizontal et rapide du bassin, j’ai projeté mon sexe sur le sien. Et là miracle, j'étais rentré !!! C'était bon, quelles sensations !!! En avant, en arrière, encore en avant et de nouveau en arrière, j'étais fier et heureux, j'étais aux anges, sur une autre planète. Je touchais le nirvana au moment d'entendre : « Euh...t'es pas dedans, tu sais ? ». Et oui, je n'étais pas dedans, mais dans un pli. Les filles à forte corpulence ont l'avantage de présenter de nombreux plis dans lesquels y glisser le sexe y ai agréable. Ces mêmes plis devenant des rigoles où s'écoule la sueur du septième ciel... A cet instant, je n'avais pas envie d'être poète. J'avais juste envie de mettre ma putain bite dans cette putain de moule. Ce n'est pourtant pas compliqué. J'avais tant galéré pour y arriver que d'avoir cette chose enfin de disponible sans réussir à l'utiliser m'était insupportable. J’ai donc retenté ma chance, plusieurs fois même; mais sans aucun résultat. La nana était tout simplement indépucelable. Il arriva enfin ce qui dut arriver, j'ai abandonné, j’ai baissé les bras. Tous les bras. Et pas que les bras.

Pour moi, ce n'était pas un drame, je retenterai ma chance le lendemain. Après tout, je ne voulais pas tout faire le même soir, j'aurai préféré y aller petit à petit et c'était déjà un premier grand pas, la suite sera pour demain. Je trouvai même la scène plutôt drôle. Mais la brave fille, elle qui n’avait aucune connaissance sexuelle continua son show. Elle me dit tout d'abord joyeusement « oh, ça change de taille ! ». Puis, ne comprenant pas ce qui se passait me dit d'une voix douce pour ne pas me choquer. « Tu sais, tu as peut-être un problème de naissance, tu devrais essayer de te masturber une fois tout seul ». J'ai faillit en même temps éclater de rire bien sur, mais aussi éclater en sanglot de me taper une fille aussi nulle. J'ai même eut envie de l'engueuler de m'avoir traité d'impuissant, alors que le problème c'était elle. Je lui ai répondu assez sèchement : « J'ai déjà essayé, ça marche très bien. » Sa réaction fut immédiate : « Quoi, tu t'es déjà masturbé !!! Mais pourquoi ? » Je sentis dans sa voix, une profonde déception, son petit ami était un pervers, un gros dégueulasse de la pire espèce; il s'était déjà touché le sexe ! J'ai dût lui expliquer que les testicules étaient une usine et qu'il fallait vider la production sinon ça explosait...

Je me suis alors dit : « Je la baisse et le jour de ses règles, je la large. » Puis nous avons dormi ensemble, mais comme je ne trouvais pas le sommeil, je suis rentré chez moi vers minuit.

 

Mes premières éjaculations in vivo

C'était le lendemain de ma première tentative. J'avais bien sûr raconté à tous mes amis comment c'était passée ma tentative de dépucelage. Ils ont bien rigolé, moi aussi d'ailleurs et ils m'ont encouragé à retenter ma chance le soir même. Toute la journée j'ai eut la trique, le gourdin bien dressé prêt à faire exploser tout ce qui lui résisterait. Pourtant j'étais stressé; comment j'allais faire pour rentré dans le coffre ? Je n'allais quand même pas le forcer avec un pied de biche ! Ce casse-tête hanta mon esprit toute la journée, c'était devenu mon objectif vital numéro un : il faudra le temps qu'il faudra, mais j'arriverai à niquer cette satanée fille. Et le lendemain de ma réussite de dépucelage, je la plaquerai. Mais je n’en étais pas là et le soir arriva. J'étais super-stressé. C'est comme si je passais le bac, le permis conduire, et tous mes examens le même jour...

Le morceau de gras écervelé qui me servait de copine me dit qu'il était fatigué; elle voulait dormir à 22 heures. Il était 21h30. J'avais trente minutes pour passer dans le monde adulte. Je n'avais pensé qu'à ça toute la journée. On se déshabilla, je mis le second préservatif de ma vie, même si le premier était réutilisable. J'introduis mon sexe dans le fourreau, je poussa bien fort en priant pour que ça rentre... J'avais peur de revivre une soirée de galère, mais à ma grande surprise, je la pénétrai sans aucun problème. Elle avait du agrandir le passage pendant la journée. Quoiqu'il en soit, je pouvais enfin goûter au Plaisir, avec un P majuscule comme Putain-que-c'est-bon ! Première pénétration de ma vie : que du bonheur. On n'imagine pas les sensations que l'on ressent quand on baise, ça n'a strictement rien à voir avec la masturbation. Je pénétrai à fond tout en poussant un grand « huuuuummmm » de jouissance intense. La fille, elle, fit « aille ». Je recula et redonna un deuxième coup. J'étais dans un autre monde, jamais dans ma vie je me suis senti aussi bien. J'ai eut l'impression d'être le bonheur lui-même. J’ai donné un troisième coup, puis un quatrième. A chaque fois à mon « hum » répondait un « aille » de plus en plus fort. Mais je ne les entendais même pas, j'étais dans la 69 ème dimension. Il pouvait se passer n'importe quoi autour de moi, je n'aurai pas réagit. Mes couilles avaient pris le pouvoir, et les couilles n'ont pas d'oreilles. J'étais anesthésié par une overdose de plaisirs. Si bien que lorsque mes couilles ont voulu envoyer la sauce, je n'ai pas essayé de les retenir. C'est ainsi que j'ai éjaculé après seulement 12 secondes de pénétration... Je découvris avec effrois que j'étais éjaculateur précoce ! Mais cela ne gêna pas la fille, au contraire, ça abrégea ses douleurs.

Je pensais larguer la fille le soir même, mais un nouveau doute m'avait envahi : étais-je vraiment un éjaculateur précoce où est-ce l'émotion qui m'avait trahi ? J'avais besoin de savoir, de me rassurer. Je rentra chez moi et attendis fébrilement le lendemain soir.

 

 

Du paradis à l’enfer en une nuit

 

Après une longue journée pleine de questions, le soir de mon deuxième rapport sexuel réussi arriva. Comme pour le premier, il n'y eut pas de préliminaires, j'étais trop pressé de connaître la réponse à ma question. Etais-je éjaculateur précoce ? J’ai commencé le boulot en comptant le nombre d'aller-retour. Pendant la journée, mes copains à qui je racontais tout avec plaisir, m'ont dit qu'en dessous de 20 mouvements, c'était de l'éjaculation précoce. J’ai donc compté, et à 5 le canon était déjà prêt à cracher... Je me suis retenu, me reposa 30 secondes en demandant à la fille si ça allait, juste pour gagner du temps. Je repartis, et à 9 la sauce était de nouveau prête à être servie... C'était clair : j'étais éjaculateur ultra-précoce.

Tant pis. De toute façon je n'arrivais pas à me faire de nana. Finalement ça valait mieux que ça tombe sur moi plutôt que sur un mec qui a du charme. J’ai décidé quand même d'envoyer la sauce, comme un cadeau d'adieu à la nana. Pour elle, le sort était jeté, je n'avais plus rien à faire avec elle. Mais comme il était tard et que j’étais déprimé, j'ai eut la flemme de rentrer chez moi et j’ai commencé à somnoler dans le lit de ma future-ex. Mais j'étais préoccupé par le fait de savoir que jamais je n'arriverai à donner du plaisir à une fille, que je ne réalisais pas que je m'endormis à coté de ma copine. C'était pourtant notre première nuit ensemble, et la dernière.

Ce soir là, j'ai eut beaucoup de mal à m'endormir, mais une fois au pays des rêves, je fus réveillé par ma nana. Il était une heure du mat. Je me demandais ce qu'elle voulait. J'avais bien une idée, mais ça me semblait impossible qu'elle réclame un petit coup. Mais peut-être que je lui avais donné suffisamment de plaisir pour qu'elle en redemande... Je commençais à reprendre confiance en moi quand elle m’anéanti en me disant : « j'arrive pas à dormir, t'arrêtes pas de ronfler».

En quelques heures je venais d'apprendre que j'étais éjaculateur précoce et que je ronflais. Tout ceci sans oublier que je n'avais aucun charme. Ce soir là, mon destin se précisa : jamais de ma vie je ne vivrai en couple. Déjà je n'arrive pas à ramener de filles chez moi. Mais en plus, si un jour, suite à un mal-entendu, j'arrivai à en convaincre une de passer la nuit avec moi, elle passera une nuit épouvantable...

J'avais raison, dix ans après, la boite de préservatifs n'est toujours pas vide.

 

Epilogue de ma première histoire

Je suis sorti avec cette fille par désespoir. Je savais qu'elle n'était pas la fille de ma vie mais je voulais connaître la joie de la vie à deux. J'ai un peu exagéré dans mon récit, je n'étais pas malheureux avec elle, je n'étais tout simplement pas amoureux. On a tout de même passé d'agréables moments. C'est merveilleux de ne plus se sentir seul, d'avoir quelqu'un avec qui parler, avec qui rire. J'ai découvert la vie en couple. Pour moi la vie à deux n'est pas deux fois mieux que la vie seule, mais elle est dix, cent, voir mille fois mieux quand on vit le vrai amour, celui des corps mais surtout des âmes. Vivre sans amour, c'est vivre la vie à 10%. C'est profiter que d'une infime partie du bonheur que l'existence peut nous apporter. J'aurai pu rester avec ma copine plus longtemps, mais je suis parti parce que je trouvais mal saine notre relation. J'aimais vivre au coté d'une fille, j'adorais la vie en couple; mais je savais que notre histoire ne mènerait à rien. Chaque instant partagé n'était qu'un instant de frustration de ne pas le partager avec une fille que j'aimais. Je me sentais de plus en plus mal à l'aise avec ma copine; chaque jour passé avec elle me faisait découvrir ce qu'était le bonheur, ce même bonheur qui me fuyait. A chaque minute passée avec elle, j'imaginais ces mêmes moments avec l'élue de mon cœur. C'est pour cette raison que j'ai préféré arrêter. Certes, j'ai attendu d'avoir mon premier rapport sexuel avant de la quitter; et la découverte du plaisir amplifia mon sentiment. J'ai alors choisi de revivre seul plutôt que de connaître un demi-bonheur, car je ne voyais que la partie manquante.

Mais bien que je ne fusse pas amoureux, j'ai beaucoup souffert de notre relation. Qui ne le saurait pas en apprenant qu'il ronfle et qu'il appartient à la catégorie des éjaculateurs précoces ? Après cette histoire, je n’ai plus cherché pas à trouver quelqu'un. J’ai préféré rester seul et j’ai tenté de me convaincre que l'on pouvait vivre heureux en restant seul.

Par Pete Oyable - Publié dans : Récits de ma vie sexuelle
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