Mercredi 16 avril 3 16 /04 /Avr 21:00

L'invitation

Tout a commencé par une proposition d’une de mes lectrices. Elle a pour pseudonyme Georgette et travaille dans une maison de retraite. Connaissant mon attirance sexuelle pour les peaux ridées et souhaitant faire plaisir à ses pensionnaires, elle m’a proposé gracieusement d’endosser le rôle d’entremetteuse : organiser ma venue afin de permettre aux résidentes et moi de copuler. Georgette avait déjà parlé de moi aux mémés et plusieurs d’entre elles désiraient me rencontrer. Pour prouver leur motivation, elles n’ont pas hésité à m’envoyer leur photo, plus ou moins osées selon leur pudeur. J’aurai largement préféré avoir affaire à un groupe de jeunes filles de 20 ans, mais bon, il faut se contenter de ce que l’on trouve. Cependant, ça ne me gêne pas plus que ça ; j’aime bien coucher avec les personnes âgées. Je ne prends pas toujours mon pied physiquement, mais le rapport humain est extraordinaire. A chaque fois, je ressens une sensation de bien-être qui dure bien plus longtemps qu’avec une femme de moins de 70 ans.

J’avais donc devant les yeux les photos de mes quatre prétendantes. La quelle choisir dans ce catalogue ? Mon choix s’est porté sur la seule qui avait osé poser nue, c’était manifestement la plus motivée. J’ai transmis mon choix à Georgette, mais elle me donna une information que j’ignorais : l’une des quatre mémés arrivait au bout du rouleau… si j’attendais quelques semaines, je n’aurais que son cadavre à me mettre sous la dent. Déjà qu’une mémé c’est tout sec quand c’est vivant, alors mort, je n’imagine même pas. Mon choix s’est donc porté sur la plus mal en point des quatre : Claudine. C’était le choix de la raison. Pas celui du plaisir, car Claudine était aussi la plus moche des quatre. Et de loin. La précarité de sa santé se lisait sur son visage.

Sur la route de la maison de repos, j’étais anxieux : c’était la première fois que j’allais coucher avec une mémé en aussi mauvais état. L’arthrose avait bloqué presque totalement la pauvre Claudine. Mais je suis du genre à respecter mon engagement et je ne pouvais ignorer la dernière volonté d’une mourante.


Prise de contact avec mémé

Me voila donc devant la maison de repos à attendre Georgette, mon entremetteuse. Ce soir là, elle travaille et comme prévu, elle vient me chercher à 21h00 précise pour me faire rentrer discrètement par une sortie de secours. Elle me guide jusqu’à la chambre sans que personne nous voie. Je rentre et je découvre Claudine, assise sur son lit, un immense sourire aux lèvres. Elle me regarde avec des yeux de braises indescriptibles. Ce ne sont pas des braises, mais un incendie de flammes défiant la vieillesse et la mort. Georgette repart et nous laisse tous les deux. J’aurai préféré qu’elle reste avec moi le temps de l’ébat, histoire d’avoir un peu d’aide en cas de problème. Mais elle a refusé, sans raison apparente. Elle m’a simplement dit : « Je ne veux pas voir ça ». J’aurai bien aimé aussi qu’elle prenne des photos, ou une vidéo. Tant pis.

Je me retrouve donc en tête à tête avec Claudine. Elle est encore plus moche que sur la photo. Mais bon, elle a au moins le mérite d’être encore en vie à 92 ans. Je ne sais pas dans quel état je serais à son age. Je m’approche d’elle, lui fait une bise et nous commençons à discuter pour se mettre en confiance. Nos regards ne se quittent pas, témoignage mutuel d’une envie irrésistible de commettre l’acte. Je pose ma main sur la sienne. Elle me répond par un sourire. Je réponds à son sourire par un baiser. Nos langues se touchent. Je sens Claudine frissonner. Ce sont bien des frissons de plaisir et non la maladie de Parkinson. Frissons communicatifs, instant de tendresse à l’état pur, de romantisme abstrait où un corps immonde donne envie de chair. Lorsque je rouvre les yeux, ce n’est plus un corps ridé à la peau tannée, aux pustules poilues généreuses, qui est devant moi, c’est un regard d’envie, c’est un menton qui tremble de bonheur, c’est un appel à la vie dans un monde où le laid n’existerait pas, c’est l’oubli des contraires matérielles et des préjugés... A présent, je me sens bien, j’ai perdu toute mon appréhension. Les choses sérieuses peuvent commencer : tout en s’embrassant, je commence à déshabiller Claudine. Je lui dégrafe son soutient gorge : et là ; première surprise : il lui manque un sein. Elle n’a que le sein gauche. Ça tombe bien, je suis droitier. Je lui titille son mamelon et je commence à me déshabiller.


Prise de mémé

Je me met torse nu et enlève mon pantalon. Claudine ne quitte pas des yeux pas mon boxer déformé par mon érection. Je m’approche. De sa main, elle tente d’enlever l’ultime morceau de tissu masquant ma nudité. J’aide sa main maladroite à dévoiler l’organe du plaisir et fait glisser ses petits doigts le long de mon vil. Les tremblements de son menton redoublent d’intensité. Si bien que sa voix roque en devient toute tremblante. Sa voix ne ressemble plus à celle d’un être humain, mais au cri d’un agneau à la recherche du pis de sa mère. Justement, c’est l’heure de la tétée ! J’approche mon sexe du visage de Claudine. Elle ne le quitte pas des yeux, si bien qu’elle se met à loucher lorsque je me rapproche d’elle ! Elle est vraiment touchante cette mémé. Je l’adore, j’adore ses yeux, son menton qui tremble, sa bouche autour de la quelle je promène mon sexe avant de le faire glisser sur sa langue. Les sensations sont exceptionnelles : les tremblements multiplient le plaisir. J’ai l’impression de me faire masturber par une trayeuse automatique à pleine puissance. C’est si bon que je sens le sperme monter dans les secondes qui suivent. Je me concentre sur son affreuse pustule sur le nez pour maîtriser mon orgasme. Finalement ; heureusement que cette pustule est là.

Le plaisir dure depuis quelques minutes. Claudine adore ça. Elle m’aurait gloutonné le poireau jusqu’à l’étouffement. Finalement, je lui enlève la divine sucrerie et l’embrasse tendrement. Je m’aperçois que sa langue a un sale goût de pisse : c’est vrai, j’avais oublié de me laver. C’est vraiment dégueulasse une vieille : ça suce n’importe quoi.

A présent, c’est à mon tour de goûter à la saveur de son intimité. Quelle sauce accompagne ses escalopes ? Roquefort ou barbecue ? Je ne suis pas très pressé de le découvrir. Je parcours son corps en le parsemant de petits baisers, en débutant par son cou pour atteindre son sexe. J’en fais le tour de ma langue et la glisse doucement dans l’intimité de la vieille dame. Drôle de saveur, faite du désinfectant mis par l’aide soignante et une odeur indescriptible caractéristique des vieux fourreaux dont seuls ceux qui ont découvert la tombe de Toutankhamon peuvent imaginer. Pas très réjouissant tout ça. J’enlève ma langue et y met un doigt. Claudine ne sentira sûrement pas la différence entre mon doigt et ma langue : son minou tout desséché doit être insensible.

Etape suivante : la pénétration. J’englue le minou de vaseline et met mon préservatif. En réalité, je mets deux préservatifs, pour avoir plus de protection. Il n’est pas impossible que des bactéries séjournent depuis des années au fond de la cavité. Elles ont eut tout temps de muter. Je ne coure pas de risque, deux protections valent mieux qu’une. A présent, je suis prêt pour la pénétration. Je commence doucement. Les sensations sont bonnes, je rentre dedans facilement. Je prends du plaisir, Claudine aussi. Elle pousse des petits cris de sa voix d’agneau « Ou-i-i-i, enco-o-o-o-ore ».

Après plusieurs minutes, je lui demande sa position préférée : la levrette. Ses désirs sont pour moi un ordre. Mais pour l’exécuter, elle doit changer de position. Pas facile pour quelqu’un figé par l’arthrose. Je l’aide à se retourner : je l’a soulève, la retourne, lui plie les bras et les jambes tel que je le ferai avec un playmobil géant. C’est marrant, cela me rappelle la période où je me masturbais sur un mannequin volé dans un magasin de vêtements. J’avais percé un orifice au niveau du sexe et je m’exerçais au kamasutra dessus. J’ai dû me débarrasser de ce mannequin car je n’avais nulle part où le ranger. A la place, j’ai pris un chien. C’est mieux un chien, c’est plus discret.


La gaffe

J’en reviens à Claudine. A l’aide de l’oreiller, je règle la hauteur du bassin de mon jouet avant de commencer la levrette. A présent, elle bêlait presque en continu ; elle hurlait même. Elle était proche de l’hystérie. Jamais je n’avais fais un tel effet à une femme, tout age confondu. Je lui ai ré-ouvert un appétit insatiable. Avec sa petite voix de chèvre, elle me demande de changer de trou. Une sodomie Madame ? Pas de problème. Je ne suis pas un grand fan de la sodomie. J’ai l’habitude d’appliquer ce principe : ne fais jamais aux autres ce que tu ne voudrais pas que l’on te fasse. Mais puisqu’on me le demande, je n’y vois pas d’inconvénients. De plus, l’anus a un gros avantage : il est moins sec que le vagin, car il est utilisé tous les jours pour chier. Je m’enfonce dans l’orifice. A mon grand étonnement, j’y rentre assez facilement. Cool. Elle devait être une sacrée coquine cette Claudine. Alors j’y vais plus franchement, une fois, deux fois, mais à la troisième, c’est le drame : rupture de l’anus. J’entends un claquement et je m’enfonce jusqu’à la base de mon sexe. Je recule et j’essaye de me dégager, mais l’anus reste bloqué à mon sexe et la peau se déchire tout autour.

Gros moment de panique de ma part : comment m’en sortir ? Je signale à Claudine le problème technique, sans tout lui révéler pour ne pas la paniquer. Elle ne sent apparemment pas la douleur : l’aide soignante lui avait prescrit un antidouleur en raison de l’arthrose. Elle me répond « Yahouuu tu m’as défoncé le cul !!! Continue, ça glissera mieux ». Mais hors de question de continuer ! Que faire ? Si seulement l’aide soignante était restée la. Je pourrais éventuellement sortir dans le couloir avec la vieille fixée à ma bite … mais bon j’avais promis d’être discret. Je dois me débrouiller seul. Je plaque ma main sur le séant de la vieille dame, lui bloque le trou de balles avec mes doigts et recule. J’arrive à me dégager. Ouf. A présent, que faire de la vieille au cul éventré ? Par bonheur, ça ne saigne pas beaucoup. Du moins à l’extérieur, je pense qu’à l’intérieur, il doit y avoir une belle hémorragie. Il faut une intervention urgente d’un médecin, c’est évident. Mais je n’assume pas mes ébats, je n’ai pas envie de hurler « Au secours, j’ai défoncé le cul d’une vieille ». Il me faut inventer un scénario pour expliquer ce qu’il s’était passé. J’ai alors une idée lumineuse en voyant la canne de Claudine posée au bord de son lit : je vais maquiller l’accident en une chute dans les escaliers. J’explique mon plan à Claudine, elle est d’accord pour me couvrir et jouer le jeu.

Je me rhabille rapidement, jette un coup d’œil dans le couloir : personne. Parfait. Je prend la vieille dans mes bras, lui met sa robe de chambre et l’emporte, elle et sa canne. Direction les escaliers. Pour être le plus réaliste possible, j’ai eut envie de balancer la malheureuse du haut de l’escalier. Mais je suis trop gentil pour faire ça, alors je la dépose doucement en bas des marches, lui fait un bisou en guise d’au revoir et … lui enfonce la canne dans le cul.

Je repars au galop dans la chambre pour ramasser mes affaires et m’enfuir lâchement par la sortie de secours. Je n’ai pas le courage de revoir l’aide soignante, car j’ai honte de moi. J’espère vraiment que Claudine va s’en remettre; je n'aime pas laisser un travail inachevé.
Par Pete Oyable - Publié dans : Récits de ma vie sexuelle
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Commentaires

C'est énorme.
Tiens nous au courant de l'évolution de Claudine!
commentaire n° :1 posté par : Mc Loose le: 17/04/2008 à 10h27
Oui, j'attends que Georgette (l'aide soignante) apporte des nouvelles.
réponse de : Pete Oyable le: 17/04/2008 à 23h43
D'un coté c'est dégeulasse mais d'un autre c'est adorable.
Elle a bien de la chance la vieille. Un vel orgasme avant de mourir =D
commentaire n° :2 posté par : Lu(cie) le: 17/04/2008 à 12h03
C'est certain, faut mieux lui faire l'amour avant sa mort plutôt qu'après !
réponse de : Pete Oyable le: 17/04/2008 à 23h45
ça, c'est un récit plutôt éprouvant... en même temps que plein de tendresse d'une certaine manière :s bref je ne sais pas quoi en penser. en tout cas, il faut savoir que deux capotes valent moins qu'une, il est déconseillé d'en mettre deux, ça se déchire plus facilement... et pour les lubrifiants, toujours utiliser des lubrifiants à l'eau si capote il y a. sinon, risque de se déchirer (latex devient poreux). un double accident aurait été dramatique.. bravo pour l'imagination de dernière minute ;)
commentaire n° :3 posté par : terrence le: 17/04/2008 à 17h29
Merci bien de tes conseils. Pour une fois que ce site peut être instructif. Merci !
réponse de : Pete Oyable le: 17/04/2008 à 23h47
Mdr je crois que je viens d'ameuter tout l'immeuble ! des heures passées devant l'ordi à lire tes textes en me fendant la gueule avec une copine ... j'attends la suite avec impatience !!!

Ps: quel charme, j'adore ta façon d'écrire et de voir les choses ...sous cette facade se cache un pti coeur fragile j'en suis sure !
commentaire n° :4 posté par : Laurelyne le: 19/04/2008 à 17h06
Tu as vu juste, ma vulgarité et mes excès ne sont qu'une carapace pour protéger mon petit coeur trop fragile et beaucoup trop seul...
J'ai eut l'impression que l'immeuble tremblait cet après-midi, on est peut-être voisin ;o)
réponse de : Pete Oyable le: 19/04/2008 à 19h28

Claudine, la coquine, a-t-elle-simulé? ;-)

commentaire n° :5 posté par : Caresse le: 22/04/2008 à 21h27
Oh ! Pour une fois que j'assurais comme un Dieu ! Comment peut-être imaginer une chose pareil ?
réponse de : Pete Oyable le: 23/04/2008 à 00h21

une semaine après ton départ...

Claudine a été transferée a l'hopital le plus proche dans la nuit... les médecins ont beaucoup hésité à l'opérer... Elle n'en a pas voulu... mais ils l'ont fait pour son confort et pour qu'elle ait une belle fin de vie...

Ce n'est pas cette mort la que claudine voulait, mais elle m'a dit etre heureuse d'avoir pu vivre cette expérience, elle était vierge...

Claudine est décédée hier matin, la famille avant l'air soulagée.

Personnelement j'ai besoin de me remettre en question part rapport a notre "pacte"... prendre du recul... je me sens coupable


Je te recontacerai par mail, si tu veux etre présent a l'enterrement

commentaire n° :6 posté par : georgette le: 24/04/2008 à 19h11
C'est cool pour toi, tu vas toucher ta part d'héritage. C'est ce que tu voulais non ?
Tu ne m'avais pas dis qu'elle n'avait pas d'enfants : tu remportes tout le magot. Bien joué. A présent que tu es riche, je comprend que tu ais besoin de prendre du recul. En d'autres termes, tu n'as plus besoin de moi.
réponse de : Pete Oyable le: 25/04/2008 à 00h31
Putain !!!! j'ai envie de gerber...t'as fait fort...il faut avoir le coeur bien accroché pffffffffffff !
commentaire n° :7 posté par : july le: 01/05/2008 à 14h10
Mes écrits sont magiques et ne laissent jamais le lecteur indifférent. Ils le font tour à tour rire, pleurer, fantasmer, ou encore vomir.
Dans mon prochain article, j'essayerai de faire couler du pus de tes oreilles.
réponse de : Pete Oyable le: 01/05/2008 à 17h11
t'es carrément allumé mais j'aime...bisous, je vais mieux...lol

commentaire n° :8 posté par : july le: 01/05/2008 à 22h24
ha Pete ! continue !! continue !! tu es un vrai dieux de la prose :-)
commentaire n° :9 posté par : éloine le: 03/05/2008 à 15h19
Ne me dis pas "Continue, continue", ça me rappelle trop cette pauvre Claudine...
Et oui, je suis un Dieu. C'est sympa d'être un Dieu, même si on se sent seul parfois dans l'immensité des nuages. Heureusement, pour rompre ma solitude, certaines personnes m'offrent des sacrifices humains.
Aller, sur ce, je te bénis.
réponse de : Pete Oyable le: 03/05/2008 à 18h44
voila, l'affaire s'est tassée
Plus aucun souci, l'héritage est empoché
je te propose de remetrre ca, quand ca t'arrange...
Mais si tu pouvais faire moins de dégats...

bises
commentaire n° :10 posté par : georgette le: 06/05/2008 à 16h21
OK pour le week-end prochain.
Sauf que cette fois, ce n'est pas avec une grand-mère que je souhaite batifoler, mais avec toi. Sinon, je révèle tout à ton employeur, à ta famille et à celle de Claudine.
Ce n'est pas parce que l'on mange du pain rassis que l'on ne préfère pas des miches biens fraiches.
réponse de : Pete Oyable le: 11/05/2008 à 11h05
C'est vrai que c'est peut-être la solution pour faire l'amour :) !
commentaire n° :11 posté par : Fabien le: 03/07/2008 à 20h45
C'est surtout elle qui fait l'amour. Moi, je me contente de baiser et c'est déjà bien.
réponse de : Pete Oyable le: 04/07/2008 à 00h05
Soit tu es un menteur. Et au quel cas bravo, c'est tres drole et tu devrais publier un livre.

Soit tu as vraiment besoin d aide urgemment et je pourrais meme rajouter que si tu ne veux pas devenir un danger public et qu'on t enferme tu ferais mieux d'aller voir un psychologue ou, mais je ne sais pas si tu en es intellectuellement capable, faire un vrai travail de fond sur toutes tes angoisses et tes handicaps
commentaire n° :12 posté par : Eliseum le: 03/12/2008 à 18h20
Menteur ou psycopathe ?
Je répondrai bien, mais si je suis un menteur, ma réponse n'a pas de valeur. Ce n'est pas à moi de répondre.
Tu veux que l'on se rencontre pour te faire un avis ?
réponse de : Pete Oyable le: 08/02/2009 à 06h41

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