Mardi 5 décembre 2 05 /12 /Déc 21:14

Pourquoi j’étais si long à publier un nouvel article ?

 

Je vous le donne dans le mille : j’ai rencontré la fille de ma vie. Pas quantitativement, mais qualitativement. C'est-à-dire : ça n’a pas duré longtemps, mais c’était intense. J’étais éperdument amoureux d’elle. Elle collectionnait toutes les qualités que je recherche chez une fille et j’espérais infiniment que notre relation serait éternelle. Mais elle est partie sans que je sache pourquoi et me revoilà en tête à tête avec ma solitude.

 

Totalement épris par le charme de cette fille que je qualifiais de « femme idéale », j’avais dépensé sans compter pour lui offrir les plus beaux cadeaux. Pas des cadeaux inutiles, pas des fleurs ni des bijoux, tous ces objets décoratifs, matérialisations inutiles de sentiments que l’on peine à prouver. Non, on s’aimait et on était certain des sentiments de l’autre. Alors, j’ai couvert ma bien-aimée de cadeaux simples, de ces petits objets utilisés tous les jours pour se simplifier la vie. Je lui ai offert les meilleurs produits ménagers, toute une batterie de casseroles, un aspirateur tout neuf, une fer à repasser dernier cri… Je me souviens de mon merveilleux effort, témoignant de mon immense amour : elle s’était coupée à la main avec le couteau de cuisine et elle ne pouvait plus faire la vaisselle de la faute à des points de suture. Pour elle, je suis allé moi-même au supermarché acheter des gants avec lesquelles elle pouvait à nouveau faire la vaisselle. Et je suis allé au supermarché alors qu’il y avait un match de foot à la télé. Jamais je n’aurai cru être capable de ce genre de geste. Mais pour elle, je l’ai fait. C’est beau l’amour.

 

Vu que je ne suis pas du tout sexiste, j’acceptais de l’aider dans ses taches ménagères en ramassant mes chaussettes sales pour les mettre moi-même dans le bac à linge. C’est encore une belle preuve d’amour, parce que c’est quand même le rôle de la femme de faire ce travail. A propos de travail, tu étais d’accord pour rester à la maison et ne pas avoir d’emploi. C’est quelque chose d’important pour moi, car en voulant travailler, les femmes sont directement responsables du chômage, des embouteillages et donc de la pollution qui fait étouffer nos enfants dans leur poussette. De plus, en ne cuisinant plus la nourriture de leur conjoint, elles les obligent à manger au restaurant, ou dans des cantines à la nourriture bien trop grasse, ce qui augmente les cas d’obésité, lui-même responsable du déficit gargantuesque de la sécu qui plongera d’ici peu notre pays dans la misère et la famine. Non, une femme, ça doit rester à la maison.

 

Ma dulcinée l’avait bien compris, elle était humble et elle acceptait sa dure vie de labeur entièrement dévouée à son bienfaiteur pour qui elle doit être prête à mourir. Je connais bien les femmes et je comprends leur psychologie. Elles ont besoin d’être entourée, besoin d’être aimée, d’être guidée jours après jours. Une femme, c’est un peu comme un chien, c’est un animal de meute ayant besoin d’un maître à qui elles vouent un culte illimité. Conceptuellement parlant, la femme a été conçue pour être au petit soin d’un homme. Pendant des millions d’années la femme est restée au foyer pour nourrir les enfants. Les hommes allaient à la chasse et au travail. Le cerveau de l’homme s’est développé pour construire de nouveaux outils, alors que celui de la femme est resté à la même taille car elle ne s’en servait pas, ou peu. C’est pour cette raison qu’aujourd’hui encore, le cerveau féminin est moins performant que son équivalent masculin. Bien sur, il ne faut pas généraliser, certaines femmes sont très intelligentes, de même qu’il y a des femmes à barbe. Ces garçons manqués ne sont que des cas isolés, issus d’un mélange malencontreux des chromosomes lors de la fécondation de l’ovule par le spermatozoïde.

Certaines personnes s’insurgeront sûrement devant mes propos ; c’est ainsi, toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Certains me citeront des prétendues qualités possédées par la femme et non par l’homme. Les femmes sont plus sensibles, moins violentes. On n’a jamais vu de filles les rangs des casseurs, ni de femmes tueuses en séries. C’est peut-être vrai. Mais ceux qui disent cela ne sont que de piètres analystes se limitant à constater des faits sans chercher leurs origines. Car pourquoi certains hommes sombrent-ils dans la violence ? La raison est tout simplement une mauvaise éducation de la part de leur mère. Tout simplement. Une fois de plus, les femmes sont à l’origine de l’un de nos plus graves problèmes de société. Les femmes sont faites pour rester à la maison et pour élever nos bambins. Et ce n’est pas sexiste de dire ça, car ces tâches sont fondamentales dans le bon fonctionnement de la société et donc dans l’épanouissement de tous. Notre avenir est dans les mains des femmes. J’ai parfois l’impression que certaines femmes refusent cette noble responsabilité et préfèrent vivre comme les hommes. Quelle lâcheté. Elles ont l’avenir de l’humanité entre leurs mains, mais elles ne pensent qu’à leur intérêt personnel. C’est minable.

Mais revenons-en à ma chère et tendre. Elle s’épanouissait donc dans ce rôle de mère au foyer sans enfant. Du moins, elle semblait s’épanouir, car elle m’a quitté. Il a suffit d’une seule dispute qui a duré moins de deux minutes pour qu’elle parte. L’objet de la dispute a été une miette de pain que j’ai retrouvé le soir par terre. Que faisait-elle par terre ? Tous les matins, en partant travailler, j’enfermais à clé ma copine dans l’appartement. Elle avait toute la journée pour faire ses tâches ménagères et je ne supporte pas qu’elle les fasse mal. C’est pour moi un manque évident d’amour. Cette malencontreuse miette de pain était la preuve de l’effritement de ses sentiments. Je ne l’ai pas supporté. Mais, bon, c’est vrai, je n’aurai pas du la frapper. Pour me faire pardonner, je lui avais offert un bouquet de fleurs. Pas des fleurs artificielles, des vraies, que j’avais volé dans un cimetière. Mais ce geste fut inutile. Tant pis pour elle, si elle n’est pas capable de voir en moi l’homme idéal, c’est qu’elle est con. Finalement, je ne perds par grand-chose, elle ne méritait pas ma bonté. Je jubile même en l’imaginant pleurnicher le soir, regrettant de m’avoir quitté.

 

 

Voila, Mes Dames, Mes Demoiselles, j’attend vos commentaires d’insultes avec impatience. En attendant, je prépare mon prochain article dans lequel je vous démontrerai la supériorité de la race blanche. 

 ;o)

 

Par Pete Oyable - Publié dans : Récits de ma vie sexuelle
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