Dimanche 21 janvier 7 21 /01 /Jan 22:43

 

Les escalopes

 

On a pris la direction du lit. Il faisait chaud et on a ouvert la fenêtre. Un doux souffle caressait agréablement nos corps, éclairés par les faibles lumières de la ville endormie. On a commencé tranquillement par des bisous, agrémentés de caresses, tendrement, en prenant notre temps. Je lui ai caressé les seins, une belle paire assez volumineuse. J’ai joué quelques instants avec, avant de descendre vers le sexe. Sur le chemin, j’ai embrassé tendrement le nombril et j’ai constaté la présence d’un piercing juste au dessus du sexe. Je déposa un baiser sur ce piercing et je passa à l’essentiel : le sexe féminin. J’ai toujours eut beaucoup de mal avec cette chose. Je ne trouve jamais l’entrée rapidement. Pas seulement pour y mettre mon sexe, mais également, et ça c’est plus grave, pour y glisser un simple doigt ou la langue. A ma décharge, il faut reconnaître que c’est un sacré bordel ce système d’ouverture. C’est un enchevêtrement complexe à plusieurs niveaux, composé d’un premier rideau de lèvres, puis comme si ça ne suffisait pas, d’un second rideau. Le tout avec des plis, des replis, des coins et des recoins. Une fois le conduit trouvé, il n’est pas rigide, il est lui aussi plein de plis. Il faut trouver son chemin agilement sans jamais savoir si on est bien droit dedans. C’est rare que j’ai ce genre de jouet à ma disposition, je ne voudrai pas le casser, ou en perforer la paroi, alors je joue avec prudence. Je glisse mes doigts à tâtons dans le terrier, puis la langue. Il y a à l’intérieur un léger goût de fromage qui n’est pas désagréable. Un goût de Conté plus précisément, mon fromage préféré. Je me suis abreuvé de ce jus de fromage quelques instants.

 

Je me suis ensuite occupé d’un composant sensible du sexe appelé clitoris. Mais il a fallut d’abord le trouver et le seul truc que je sache ; il se trouve vers le haut. Alors j’ai léchouillé tout un peu au hasard jusqu'à ce que la fille vibre un peu. Hélas, ce soir là, je ne trouvais rien et après quelques minutes de tâtonnement au milieu des lambeaux de chair, j’ai entendu dans un petit rire moqueur « Tu fais quoi là ? Tu ne pourrais pas t’occuper de mon clito ? ». « Mais oui, mais c’est ce que j’essaye de faire ! » ai-je pensé très fort. Alors, j’ai écarté avec les doigts la chose au maximum et j’ai balancé des grands coups de langue au travers de tout ce foutoir. En arrosant tout, je vais bien toucher le point sensible ! Soudain j’ai senti un truc un peu différent, comme un petit bouton. Je me suis dit « c’est peut-être ce que je cherche… » Je l’agite du bout de la langue et j’entend la fille prendre un grande respiration à la Dark Vador.

 

Elle bascula sa tête en arrière, ses yeux se collèrent sous ses paupières ne laissant que le blanc de l’oeil apparaître. Sa respiration était de plus en plus saccadée et ses cils n’arrêtèrent pas de battre. J’ai eut un doute : elle faisait un malaise ou quoi ? A force de me taper des vieilles, je suis devenu méfiant. Finalement j’ai continué mon boulot. Si elle fait vraiment un malaise, il fallait que je termine ma tâche avant qu’elle ne meure, ou du moins tant que le corps était encore chaud. Mais si elle prenait vraiment du plaisir, je n’avais pas le droit d’arrêter. Dans les deux cas, je devais mieux poursuivre. Alors j’ai poursuivi. J’avais tous les éléments pour assurer comme un Dieu. La langue s’occupait du clito. En même temps je soufflais généreusement par le nez pour agiter les poils de la foufoune. La main gauche caressait le ventre et les seins, quelques doigts de la main droite rentraient dans la fente. Le tout synchronisé au même rythme. Radégonde me dit dans un soupir « vas-y, continue », ce qui me rassura : elle prenait du plaisir. J’ai continué pendant de longues secondes, jusqu’à l’épuisement. Ensuite ma langue a quittée le panier d’escalopes pour remonter doucement vers le visage. J’embrasse tendrement le piercing situé juste au dessus du sexe. Je ne sais pas pourquoi, j’ai voulu le prendre entre mes dents. Dès fois, je ferai mieux de réfléchir avant d’agir… J’avais à peine le piercing entre mes dents, qu’il s’est arraché ! Il a littéralement explosé et je l’ai senti frapper le fond de ma gorge. Quel con ! J’ai eut un recul et j’ai passé un doigt sur l’emplacement. Plus de bijou, mais un peu de sang. La fille a été surprise de mon recul et s’est redressée. Je lui dis avoir arraché son piercing et elle me répondis « Quel piercing, qu’est ce que tu racontes ? ». J’ai alors une étincelle et je compris : ce n’était pas un piercing mais un gros bouton tout blanc rempli de pus qui venait d’exploser entre mes dents. Il avait giclé dans le fond de ma gorge… Je fis un gros ouf de soulagement !

 

C'est par ici pour avoir la suite... 

 

 

Par Pete Oyable - Publié dans : Récits de ma vie sexuelle
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