Samedi 10 décembre 6 10 /12 /Déc 22:56

  

 La rencontre

J'avais rencontré cette fille dans un bar. C'était l'amie d'une amie, d'un ami et j'en passe. Nous nous sommes bien entendus car elle aimait bien raconter des conneries et surtout boire. On a picolé pas mal de bières et de cocktails. Suffisamment pour ne pas se souvenir de leur nombre, c'est pour dire ! C'était une fille naturelle qui parlait sans calculer et c'est sans pudeur qu'elle m'a dit qu'elle était seule et qu'elle s'ennuyait. Nous avons fait le chemin du retour ensemble et dans un regard complice, on compris que nos intentions étaient les mêmes. Alors nous sommes allés chez elle. C'est marrant de coucher avec une fille que l'on a rencontrée par hasard trois heures plus tôt, alors que l'on recherche une nana depuis des années... Je pensais que j'allai enfin passer une nuit câline. Eh ben non et pourtant la fille ne demandait que ça. Mais quand on n’est pas doué, c'est pour la vie.

 

 

Mes  premières léchouilles génitales

A peine arrivés dans sa chambre, nous nous sommes embrassés longuement, tendrement, puis avec passion. Nous nous sommes mutuellement déshabillés. Elle pris mon sexe entre ses mains et le caressa. J’ai vu sa bouche s’en rapprocher. Mon cœur battait comme il n’avait jamais battu. Quand elle passa sa langue sur sa bouche, j'étais en transe, au maximum de l'excitation. Le moment que j’attendais tant attendu allait enfin arriver, j'allais enfin avoir ma première pipe. Sa langue sorti de sa bouche et lécha le bout de mon bout. J’ai eut l’impression d’un électrochoc. J’avais l’impression de pisser sur une ligne à haute tension. C’était une sensation si forte, si agréable, si indescriptible que j’ai faillis faire un arrêt cardiaque. Jamais mon sexe n’avait été aussi dur. Au deuxième coup de langue je sentis un frémissement testiculaire signalant une prochaine irruption, ça faisait des années que mes couilles attendaient de pourvoir livrer leur production. Les réserves étaient pleines. Il y avait de tout, du tout neuf qui sortait de chaîne de fabrication comme du plus ancien bien mûr et au goût sûrement bien affirmé. Elle allait se régaler la petite. Mais il était trop tôt, ce n’était que le deuxième coup de langue. Alors sentant que le point de rupture était tout proche, je lui enleva l’eskimo de la bouche et commença à lui embrasser la poitrine, avant de lui caresser les cuisses. Je lui embrassa le ventre, puis mes mains et ma bouche sont descendues pour atteindre le sexe. J'y ai passé délicatement ma langue. Là aussi c’était pour moi une nouvelle expérience. Je sentis un goût bizarre. Je me suis dis qu’elle ne s’était sans doute pas lavée. Moi non plus d'ailleurs. Mais comme c’était la première fois que je passais mes papilles gustatives sur un tel morceau de viande, j'ignorais le goût que ça devait avoir. Je me suis dis que ça devait être normal et j’ai plongé ma langue entière dans l’orifice. Le goût était devenu vraiment insupportable. Je commençais vraiment à regretter de m’être aventuré dans cet obscur passage quand soudain un détail de la conversation du bar me revient à l’esprit : les ragougnasses !!! Elle avait ses ragougnasses et moi je lui bouffais ses ovules toutes pourries et puantes ! Le goût infâme de cette chose dans ma bouche et le fait de savoir ce que c’était provoqua une réaction immédiate : beurkkk ! J’ai eut un gros renvoi. J’ai essayé de contrôler ce que je pouvais. J’ai rentré ma langue et fermé la bouche. Mais la quantité était trop importante pour tout garder, j’ai dut en laisser un peu déborder sur le ventre de la nana. J’ai essayé de rattraper ma bévue comme je pouvais. J’ai tout ravalé et j’ai jeté un gros coup de langue pour reprendre ce qui m’appartenait. J’ai renvoyé tout ça à l’estomac.

  

 

 Le feu d'artifice

Je pensais alors contrôler la situation. Je me suis même dis que cette petite défaillance hépatite avait un avantage ; elle avait enlevé le sale goût de ragougnasse de ma bouche. A la place j’avais un mélange d’alcool et de suc gastrique. Ce n’était pas top non plus, mais c’était mieux. En tout cas, c’était un goût que je connaissais. Je pensais donc que le malaise était passé, que je pouvais reprendre mon activité quand mon salopard d'estomac m'en empêcha. Le premier renvoi n'était que la première goutte de pluie de l'orage. Sans que je le sentis arriver, il arriva : le méga-beurk ; celui contre qui tu ne peux rien faire, celui qui te renvoie tout ce que tu as bouffé depuis deux mois, celui qui te fait croire que ton trou du cul va te passer par la bouche. Dans ce cas, tu ne contrôles plus rien. Tu réalises que ton corps est plus puissant que ton âme et que tu ne peux rien faire. Alors tu laisses ton corps agir en espérant que sa colère se calme rapidement. Certains disent que le corps humain est la machine la plus perfectionnée dans l’univers. Quand je vois ce que cette machine est capable de produire, je dis que certains racontent de sacrées conneries. En tout cas c’est une machine puissante, il y en avait partout, sur les draps, le mur, par terre et surtout sur la malheureuse fille qui s’essuyait le visage. Elle n’a pas compris tout de suite ce qui venait de lui arriver. Elle s’est juste passé la main sur le visage, elle a ensuite regardé sa main en prenant une grande respiration et puis elle a eut une réaction normale ; voir quelqu’un vomir donne envie de vomir, alors quand on te dégueule en pleine face une gerbe d’ovule et de bière, tu fais ce que j’appelle un méga-beurk d’anthologie ; un vomi incontrôlable, subit, violent et monstrueusement puissant. La pauvre fille n’a même pas eut le temps de se tourner, elle est restée allongée sur le dos pour dégueuler. Une vraie baleine, un jet digne des plus belles fontaines, bien droit projeté vers le ciel et retombant en formant un dôme. Dommage que je n’ai pas filmé. On était tous les deux pleins de gerbes. Le lit en était couvert. La table de chevet et le mur avaient pris des éclaboussures. Elle s’est levée précipitamment pour aller dans la salle de bain. Grave erreur, la gerbe s’écoulant sur son corps tomba sur la moquette. On pouvait la suivre à la trace, mais j’aurai du m’abstenir de lui faire la réflexion. Le vomissement à une chose de regrettable quand on est ivre, il remet les esprits en place. C’est comme si tu sortais de ta peau et que tu te regardais en face. Sur le coup, ce n’était pas joli à voir. J’ai essayé de me redonner un peu de dignité en m’essuyant avec la face propre de l’oreiller quand la fille sortit de la salle de bain. J’ai vu dans ses yeux qu’elle avait radicalement changée d’avis sur notre future nuit. J’ai essayé de sauver ce qu’il pouvait l’être et j’ai tenté de faire de l’humour. Pas facile dans cette situation. Je lui ai dit « Quoiqu’il arrive entre nous, je n’oublierai jamais cette première nuit passée ensemble ». La réponse était facile, « Il n’arrivera plus rien entre nous. Fout moi le camp ». Je ne lui ai pas demandé si je pouvais prendre une douche, dans certaines situations, il faut savoir s’enfuir la tête basse. Je lui aurai bien proposé de nettoyer, mais après un bref coup d’œil sur les dégâts, je me suis dit qu'il fallait vraiment mieux partir. Je me suis habillé, les vêtements absorbant le vomi et je suis parti. J’ai pris les transports en commun, les gens me regardaient bizarrement dans un rayon de 10 mètres autour de moi….

 

 

Moralité

Toucher le fond, c'est grave, mais redéfinir la profondeur, c'est admirable.

Par Pete Oyable - Publié dans : Récits de ma vie sexuelle
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